Je viens de comprendre un truc

Je sens que c’est bizarre bizarre le sens le sens de l’écriture que ce n’est pas n’est peut-être pas ce que j’ai pu penser pu croire pu imaginer que c’est autre chose que tout ce que je sais ai cru savoir c’est autre chose mais quoi ca reste encore flou flou indistinct flou sans contour flou que l’on ne peut pas bien placer dans le plan dans l’espace c’est bizarre mais bizarre est-ce le mot déstabilisant irait il mieux encore qu’il ne s’agisse pas de mieux non plus c’est autre chose que mieux aussi c’est différent c’est un autre monde complètement que ce monde que je croyais ça me fait bégayer en tous cas alors que je ne bégaie pas dans la vie normalement l’écriture maintenant elle me fait bégayer quand je veux mais est ce que je sais vraiment ce que je veux il y a t’il à vouloir quand j’écris en bégayant sinon écrire autrement que je le fais habituellement il faut remonter à une origine des mots il faut pourquoi cette injonction personne ne m’oblige mais je sens qu’il faut revenir à ça à cette inconscience des mots pour les retrouver autrement comme des objets détachés de ce je est-ce possible je ne sais pas je ne sais plus grand chose et il semble bien que ce soit un assez bon début de ne plus rien savoir de tout ça peut etre que j’avais l’impression d’en savoir beaucoup trop mais qu’est ce que c’est que ça encore une impression mais qu’est ce que c’est d’avoir une impression c’est encore une affaire de paquet ce n’est pas l’être être impressionné c’est autre chose peut-être ou au pourquoi on parle on écrit il faut revenir à ce pourquoi a t’on quelque chose à dire ou à ne pas dire je sens que c’est déjà bizarre cette histoire d’avoir comme si on avait un paquet à déposer sur un étalage peut être avec tout ce que nécessite dans un esprit l’étalage la décoration l’agencement pour plaire est ce que je veux plaire est ce que c’est seulement ça je sens que non ce n’est pas seulement ça c’est autre chose ça vient de plus loin encore que plus loin je ne sais pas plaire aussi doit venir de loin en fait tout vient de si loin avant nous qu’on ne sait plus d’où ça vient tout ça je ne sais pas

écrire et peindre sont à revoir encore c’est la même chose une relation à l’espace à une espèce d’espace mais quel espace vraiment qu’est-ce que l’espace quel est l’espace quel est ce mot dont je me sers pour qualifier le support d’un texte ou d’un tableau est-ce seulement la surface la page ou la toile vierge ou est-ce autre chose de trafiqué par la mémoire par la pensée surtout la pensée qui a besoin d’une mémoire pour s’y retrouver pourquoi avoir besoin ainsi et si souvent de se retrouver et qu’est ce qui se retrouve vraiment dans cet espace inventé et dans quel but vraiment quel est le but de la création de cet espace quand je dis j’écris je peins quel est la raison de cette invention finalement qu’on ne voit pas qui nous aveugle en disant la page ou la toile

Ecrire est si facile de la façon dont j’ai appris tout seul à écrire en n’en faisant qu’à ma tête sans trop lire les autres pour ne pas imiter surtout ce qu’écrivent les autres c’est cette peur de n’avoir pas d’identité propre qui revient toujours de me tromper d’être un autre que ce que je suis vraiment cette insistance permanente à vouloir être qui je suis vraiment sans jamais réellement obtenir de preuve d’y parvenir jamais et cette obstination d’écrire dans une fréquence particulière écrire sous la dictée de l’autobiographie pour la démonter progressivement pour déconstruire déjà tout ce que je crois toujours être et toujours trouver autre chose ça n’en finit jamais de tourner en rond

je viens de comprendre un truc mais je ne sais pas quoi je sais que ça m’échappe que quelque chose m’échappe alors qu’avant je ne le savais pas ça m’échappait sans que je ne le sache alors que maintenant au moment même ou je suis en train d’écrire je ne peux plus me dissimuler que quelque chose ne cesse de m’échapper est ce que l’on peut parler de progrès aucune idée dans le sens que je connais habituellement de ce mot progrès qui signifie s’améliorer devenir meilleur que ça soit mieux mais un mieux par rapport à qui à quoi à quand c’est difficile à dire à déterminer déterminer encore un mot qui a une drôle de tète quand il arrive dans cette phrase tout à fait le genre de mot qu’on emploie sans le connaitre ça veut dire quoi pour moi quand j’écris ce mot déterminer ce verbe impliquant donc une action un mouvement donc si je dis c’est difficile à déterminer le moment où quelque chose de peint ou d’écrit est meilleur qu’avant ou en progression par rapport à un point déterminé dans le temps ça veut dire quoi quelle intention se cache derrière cette détermination quand je l’utilise sans connaitre ce mot ça veut dire qu’il faut une intention parce que c’est comme ça comme on a l’habitude d’employer aussi le but et l’intention en s’accrochant à des choses dont on se souvient que la pensée utilise pour se dire en tant que pensée je ne peux servir à rien je sers forcément une intention parce que c’est comme ça.

ce bégaiement dans les mots je le faisais beaucoup plus au tout début ce bégaiement m’était utile pour chercher les mots comme le bégaiement en peinture se manifeste toujours par une constitution de gammes et de formats qui ne sont pas destinés à être montrés à être publics c’est peut-être là aussi qu’il faut creuser ce bégaiement sa raison s’il faut en trouver une et sortir d’une exhibition d’une exposition de celui ci sortir c’est à dire le conserver privé uniquement pour soi de façon à ne pas s’imaginer le regard d’un tiers à qui soit on veut parler soit on veut plaire soit on demande quelque chose qu’on ne peut s’offrir à soi même seul

Si on écrit et peint est-ce seulement pour soi est-ce que ça tient cette idée vraiment c’est ce que j’aurais aimé penser et ça m’aurait soulagé de quelque chose surement mais ce n’est pas le cas en se dissimulant ça c’est surement bien pire que de le regarder en face il doit y avoir une relation avec le respect j’y reviens encore je n’arrête pas de revenir aussi à cette affaire de respect de se respecter soi comme de respecter les autres ne pas les ennuyer ne pas les heurter les fatiguer mais est-ce qu’on peut seulement écrire et peintre seulement pour distraire pour se distraire et ne pas s’ennuyer d’etre qui l’on est est ce qu’on peut tenir sur une distance vraiment en ayant cette intention de distraire les autres je ne le sens pas il doit y avoir autre chose de beaucoup plus impératif en tous cas au tout début.

je me cherche ils disent souvent ça les gens qui me fréquentent un peu je me cherche pour eux ça veut dire qu’il y a une lacune de ne pas avoir réussi quelque chose qu’eux semblent avoir réussi c’est à dire à se trouver mais si je regarde ce qu’ils ont trouvé ils ont trouvé souvent ce que d’autres ont trouvé pour eux qu’ils ont imité copié arrangé à leur sauce en se mentant et en finissant par croire dur comme fer qu’ils l’ont trouvé seuls est ce que c’est quelque chose qui me gène de copier d’imiter non je l’ai souvent fait mais je n’ai pas oublié que je le faisais mais peut-on toujours s’en souvenir à chaque instant je ne crois pas que ce soit si simple que je le dise il y a des moments où l’on doit oublier sinon on ne peut pas avoir de vie justement au sens où vivre c’est être au contact des autres.

A 62 ans suis je donc si naïf encore d’avoir oublié que parfois je n’ai pas oublié et que parfois que je me souvienne de cette obligation d’imitation pour vivre avec les autres

Christophe Tarkos est mort à 42 ans il faut que je me procure ses bouquins que je comprenne la façon dont il faisait ses gammes il n’a pas tout publié de son vivant ce sont d’autres qui l’ont fait d’où cette ambiguïté pour moi de lire ces extraits du kilo ces fichiers numériques identifiés avec des chiffres et des lettres dans des dossiers qui à l’origine sont écrits dans dans une intention personnelle celle à priori d’après ce que j’en comprends de faire des gammes comme un musicien fait des gammes tous les jours sans avoir besoin d’un public je suis allé regarder sur Wikipédia qui était Christophe Tarkos ce type mort si jeune et je me suis demandé évidemment ce que je fichais moi à 42 ans où j’en étais personnellement par rapport à lui je crois que je n’écrivais plus à l’époque j’avais laissé tombé sans doute à cause de cette histoire peu claire ce mélange entre l’écriture et la biographie l’autobiographie je cherchais déjà à m’en sortir mais je ne savais pas vraiment comment il a fallu que j’atteigne 58 ans pour m’y mettre vraiment justement en pénétrant à fond dans l’autobiographie ne pas l’esquiver mais l’épuiser comme on épuise un filon qu’on l’assèche. Mais je n’ai pas pensé à la manière à la forme vraiment et c’est maintenant que je commence à comprendre seulement grâce à ces textes que je reçois en PDF dans cet atelier d’écriture à quel point la forme est importante surtout lorsqu’elle se constitue de façon informe au début dans le privé dans l’intimité de l’écriture qu’on n’est pas sensé produire à un autre regard qu’à soi-même je viens de comprendre un truc mais ça reste encore confus il vaut mieux que je ne tire pas de conclusion hâtive sur ce que je comprends maintenant il vaut mieux comme en peinture laisser reposer les choses ne pas s’emballer inutilement laisser passer un peu de temps et relire ensuite ou retourner le tableau voir à tête reposée avec du recul tenter d’observer surtout ce qui reste une fois que la sensation l’émotion aura été déposée par cette fente que la vitesse permet de traverser entre les jugements les pensées

utilisation de la fonction bloc "code" pour commenter au fur et à mesure les textes établir une différence de fréquence. Expliquer ou se rappeler pourquoi on écrit quelque chose à un moment particulier. Ou simplement noter  qu'on pense avoir compris quelque chose un samedi matin de bonne heure à  7 heure et 7 minute heure locale.Se passer de la ponctuation était quelque chose que je faisais naturellement au début de ce blog pourquoi ai-je décidé à un moment de revenir à celle-ci  ce fut comme une sorte d'abdication comme une soumission à l'autorité afin de mieux retrouver des forces pour revenir à l'origine à l'absence de ponctuation afin de laisser aller l'écriture là où elle a besoin envie d'aller sans lui faire obstacle par une interprétation personnelle de ses silences.

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Faites au mieux

—Faites au mieux… Phonétiquement j’eus un doute. Fête ou faites. Je perdis quelques heures en supputation sans oser demander de précision. Il vaut mieux ne jamais poser de question en réunion. C’est très mal vu. Les jeunes se font avoir régulièrement. Les jeunes posent des questions en réunion. Un ange passe. Les vieux sourient intérieurement. Mais ils ne le montrent pas bien sûr. Avoir un jeune en réunion c’est toujours une attraction à ne pas louper. Chacun doit faire sa petite expérience. Et Au mieux, OMIEUX ? était-ce le nom d’un lieu-dit où la fête se tiendrait si, dans mon incompréhension totale, en tâtonnant je dusse m’y rendre. Je me doutais que ce ne pouvait être si simple, et puis c’était illogique d’envoyer ainsi un employé faire la fête avec tout ce travail encore à faire. Je fis semblant de ne pas avoir entendu ce que je venais de penser et je hochai la tête en silence. Ce fut la réponse attendue. Un ou deux jeunes gens posèrent des questions saugrenues, des anges passèrent et repassèrent, les vieux furent, comme chaque lundi matin, hilares intérieurement. Je sortis mon calepin pour faire des gribouillis destinés à faire baisser la tension nerveuse, pour m'évader tout en étant là, pour être attentif autrement à tout ce qui pourrait se dérouler là. Mais tout de même cela me préoccupa durant quelques heures encore. Car ne faisais-je pas déjà du mieux possible à peu près chaque tâche qui m’incombait. Fallait-il faire encore faire mieux que d’habitude ? Fallait-il faire mieux que mieux, c’est à dire mal au final ? Un étrange doute accompagné de plusieurs soupçons naquirent comme des champignons après les pluies d’octobre, étaient-ils comestibles, toxiques, je me penchais encore des heures sur l’embarras du choix et fit chou blanc comme il se doit. A la fin de la journée je n’avais strictement rien fichu. Le directeur entra en trombe dans la salle, s’approcha du bureau derrière lequel j’étais et il me demanda :— alors c’est fait ? Sans ciller je hochais gravement la tête. Il exhiba un sourire satisfait. Ce qui était une chose excessivement rare pour être marquée d’une pierre blanche. Où allais-je dégotter une pierre blanche à cette heure cependant ? Je l’ignorais. Puis la semaine passa et nous passâmes tous en même temps à toute autre chose. C’est à dire à la semaine suivante. Nous avions tous fait au mieux sans nous appesantir plus qu’à l’ordinaire. Nous serions prêts pour la prochaine réunion hebdomadaire. Aucun incident notoire ne pourrait l’empêcher. A part la fin du monde si elle daignait arriver comme un cheveu sur la soupe. Encore qu’on peut encore avaler la soupe nonobstant le cheveu , quand on n’est pas bien fier, quand on veut faire au mieux, et surtout ne pas se poser de question insoluble.|couper{180}

Faites au mieux

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Se lancer

D'après une idée d'atelier d'écriture où je ne pense pas avoir tout compris du premier coup. Mais, je me lance tout de même Photo découverte sur l'excellent site https://www.michellagarde.com/ dans ses dramagraphies Il faut vous lancer… on ne sait pas comment vous le dire… et sur tous les tons… lancez-vous… Je mis un temps avant de comprendre qu’ils s’adressaient à moi. Ou du moins à eux-mêmes au travers de moi. Car il est extrêmement rare que l’on s’adresse vraiment à moi tel que je suis. Moi-même y parvenant une fois tous les dix ans et encore, assez difficilement Il fallait donc se rendre à l’évidence. Il fallait se lancer aussi dans cette approche. Je n’étais ni plus ni moins qu’un épouvantail, un homme de paille, à moitié Turc. Il insistaient sur la tête. Se lancer… ils me la baillaient belle. On ne se lance pas comme ça sans y penser. Sans y réfléchir. Sans établir de plan en tous cas. Peser le pour et le contre en amont mais aussi en aval. On oublie toujours l’aval. Sans compter qu’il faut en premier lieu une rampe de lancement. Une armée d’ingénieurs, des super calculateurs. Sans oublier la matière première, le béton, l’acier, le fer. Sans oublier la bonne volonté, une quantité très précise de hargne, ajouté à quelques soupçons de naïveté. Et puis c’est tellement trivial de le dire mais il faut tout de même le dire, pour se lancer il faut surtout le nerf de la guerre. Ça ne se trouve pas sous le sabot du premier cheval bai cerise venu. Tout une machinerie à mettre en branle, pour dégotter le fameux nerf. Sans oublier tous ces rencards. Rendez-vous chez le banquier avancez de deux. Rendez-vous à l’Urssaf reculez de trois. Sans oublier l’imprimeur, combien pour une publicité de lancement je vous prie. Et si je ne prends que le recto ? Attendez il me reste peut-être quelques pennies pour une ou deux capitales. C’est bien les Capitales pour lancer une campagne de lancement non. Ne pas être trop bégueule. Voir grand. Un flyer format A5. Avec en gros Demain, JE me lance.. Venez assister au spectacle. Deux francs six sous la place. Et ne croyez pas qu’il s’agit de l’homme Canon. Une vieille resucée de Luna parc. Rien de tout ça. Juste une tentative burlesque, tragique, comique ? Ah ah ah mystère et boule de gomme, vous le saurez si vous achetez le billet. Tarif promotionnel pour les Cents premiers : un francs vingt-cinq centimes seulement pour en prendre, EN AVANT PREMIERE , plein les mirettes. Lancez-vous ! laissez-vous tenter ! Venez nombreux assister au lancement.|couper{180}

Se lancer

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Tendre

travail d'élève, stage "oser, hésiter" mai 2023 Il faut tendre, sans être tendre, c’est à dire, ne pas céder comme le beurre cède au couteau qui rabote la motte ( négligemment le plus souvent) Il faut dire au couteau : Ce n’est pas parce que je compte pour du beurre qu’il faut en profiter ! Il faut tendre l’oreille, sans être dur de la feuille. Ceci étant dit si on tend l’oreille, ce n’est pas ce qu’elle va capter qui nous intéressera en premier lieu, mais plutôt se concentrer sur cette action machinale, vous savez, qui consiste à tendre une oreille. Comment tendre une oreille sans se casser les pieds, ou les casser aux autres, un enjeu de taille. Le placement du corps tout entier doit avoir une importance. Selon que l’on se tient de face ou de profil, on ne peut tendre l’oreille de la même façon. Idem si l’on est assis ou debout, voire allongé, et encore vivant ou mort, à dix-huit mètres de profondeur sous l’eau ou au sommet d’un poteau télégraphique. Le son frappe l’oreille suivent une règle de tangentes assez absconse mais bien réelle. Tendre du linge sur un fil demandera aussi un peu d’attention. Ne pas perdre de vue le fil, tout en tenant d’une main l’épingle, de l’autre la chemise— si c’est bien une chemise ( on peut le vérifier et modifier le mot ça ne changera pas grand chose sauf la phrase). Tendre vers le mieux, s’efforcer vers ça est à prendre avec des pincettes, sachant d’une part que le mieux est l’ennemi du bien et que d’autre part il faut savoir d’où l’on vient avant de prétendre se rendre où que ce soit. Mais si c’est vers un mieux, il y a de grandes chances que l’origine soit Un bien que l’on ne saurait supporter en l'étatUn mal que l’on cherche à renommerUne énigme, on ne sait pas d’où l’on part on se contente simplement d’emboîter le pas du plus grand nombre vers le mieux. Il faut noter les pistes consciencieusement pour ne pas s’égarer inutilement. Tendre vers une certaine précision, mais sans jamais l’atteindre de plein fouet, aucun carambolage n’améliore la précision. Aucun carambolage n’apporte quoique ce soit de bien précis si l’on n’en meurt pas, qu’on ne se retrouve pas hémiplégique, amnésique, amputé, groggy ou même indemne. On a juste assisté à un carambolage, peut-être même avoir endossé un rôle de premier plan, mais il ne vaut mieux pas profiter de l’occasion pour tendre vers la célébrité tout de même, où ce qui est la même chose, vers une idée toute faite. La précision ne s’atteint pas plus que la perfection, elle se rumine seulement, elle se rêve, on peut la désirer certes, la convoiter, mais la posséder serait beaucoup trop grossier. Tendre vers un soupçon de modestie à ce moment là si l'on sent que l’on s’égare, si l'on tend vers l'abus, l'extrême. Dans la tendance moderne d’arriver avant d’être parti, tendre est un verbe oublié. Enterré. Mais dont il faudra tout de même faire l'effort se souvenir pour ne pas sombrer à la fin des fins. Et puis par pitié, ne pas s’attendrir pour autant comme un bifteck sous le plat du couteau du boucher. Ne pas se ramollir. Quand bien même l'adversité produirait autant d' efforts démesurés pour nous nous maintenir dans l'ignorance ou dans l'oubli. Se réveiller le matin et toujours voir en premier inscrit sur un post-it qu’on aura collé sur la table de chevet la veille. TENDRE. En lettres capitales . Maître mot d’un début de journée . Ensuite si besoin est, se détendre en se levant, prendre une douche, un café si c’est absolument nécessaire. si l’on a pris l’habitude de s’imposer ce genre d’habitudes. Ce qui n’empêche nullement de tendre à les réduire voire les supprimer si elles ne vous servent à rien, si ce ne sont que de simples programmes installés dans la cervelle pour nous permettre de ne penser à rien.|couper{180}

Tendre