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Reprise
Le mot reprise apparaît parfois à côté du titre. Sur les blogs que je visite. Reprise. Encore un mot qui peut faire réfléchir. Dans quelle circonstance cette reprise… une chose fut prise et la voici reprise. Un poisson ça me rappelle la sensation d’attraper un poisson qui m’aurait soudain glissé entre les doigts pour se ruer à l’eau. Élan vital de ce corps poisseux pour s’en aller rejoindre l’élément liquide. On relance la ligne… le même poisson mort à l’hameçon. Reprise… cycle de la prise et de la reprise… mouvement perpétuel. Et si on ne pratique plus la pêche, risque t’on moins… est t’on indemne pour autant de pénétrer dans le cycle… Laisser aller plutôt le poisson sa vie de poisson, ne plus lancer la ligne du tout, s’éloigner des berges.|couper{180}
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Rétribution
Si on effectue une requête dans un moteur de recherche- Google- pour ne citer que celui qui nous vient aussitôt à l'esprit voilà que ce que l'on obtient en premier nom féminin Ce qui est donné en échange d'un service, d'un travail (en général de l'argent). On admirera l'utilisation des parenthèses pour résumer le propos. Un peu plus bas sur la page des réponses données on apprendra qu'il s'agit du nom d'un clan de catcheurs heel ( des catcheurs méchants ) dont le leader Adeel Alam (né le 28 mars 1986 à Bolingbrook, Illinois) est un catcheur (lutteur professionnel) américain. Il travaille actuellement à la World Wrestling Entertainment, dans la division Raw, sous le nom de Mustafa Ali. Il est le premier catcheur de la WWE d'origine pakistanaise. Dès les premiers mois de l'apparition du clan, de nombreux hommes et femmes masqués non-identifiés apparurent de temps en temps pour assister les principaux membres en attaquant tout ce qui bouge. Le clan est présenté comme un groupe d'individus rejetés, dont le but est de détruire la WWE pour la remodeler à leur manière. Le 3 août 2020, les membres du clan apparaissent masqués, jusqu'à ce que leurs véritables identités soient révélées au grand jour le 21 septembre, avant de découvrir que Mustafa Ali se révèle être le leader du clan le 5 octobre. Depuis ses débuts, le clan ne cesse de recevoir des avis négatifs au sein du monde du catch, ainsi que de la part des fans. Evidemment cette action ne rencontre que des critiques négatives de la part des afficionados du catch, créant ainsi une avalanche de billets qui ridiculise "Rétribution". Retribution a rencontré une censure immédiate après ses débuts en août 2020. Le journaliste du PWTorch Zack Heydorn pense que le clan ne vaut pas le battage médiatique que la WWE s'est efforcé de mettre en place, disant, "Rien dans la présentation actuelle de Retribution ne crie le danger, la peur ou le mal. Ils sont comme des moucherons qui pourraient vraisemblablement être écrasés d'un simple mouvement du poignet.." article Wikipédia complet Troisième page de réponses données : Discuter de rémunération et de rétribution amène naturellement sur la distinction entre les divers types de rémunération que sont les salaire, traitement, solde, cachet, honoraires, etc. Rémunération et rétribution sont des termes généraux qui désignent une forme de salaire accordé en échange d’un travail ou d’un service. Les dictionnaires généraux font peu de distinction entre les deux termes, mais Termium Plus® et le Grand dictionnaire terminologique (GDT) observent que si la rémunération « implique une proportion rigoureuse entre le travail fourni et la somme versée », comme un salaire ou des honoraires pour services professionnels, la rétribution, en revanche, « implique un rapport plus arbitraire entre la somme versée et le travail », par exemple dans les cas de pourboire ou de prime. article complet Page 4 : Main de rétribution3% de la mana de base30 m de portéeInstantanée8 s de rechargeRequiert PaladinNiveau 16 requisProvoque la cible pour qu'elle vous attaque. Si elle peut être provoquée et ne vous cible pas actuellement, inflige (1 + 0.5 * Attack power) points de dégâts du Sacré. extrait du site de jeux vidéos Toujours page 4 : article sans doute intéressant mais payant ... Conformément aux principes de la sociologie compréhensive, nous sommes parti, non d’une théorie a priori à valider sur un terrain, mais de l’écoute ouverte de ce que disent les agents de leur condition au travail. Cette approche, qui accorde quelque crédit au « savoir des agents » (pour parler comme Schütz) ou encore à la « réflexivité des acteurs » (comme dit Giddens), repose sur une attention particulière portée à l’écart entre « l’horizon d’attente » du chercheur, ce qu’il s’attend à trouver compte tenu de ses connaissances et de ses préjugés, et ce qu’il entend, voit ou ressent au contact direct du terrain. Nous l’avons déjà dit, ce que les agents de conduite font entendre de manière répétitive et surprenante, c’est une plainte. Une plainte qui n’est pas rapportée à un objet nommé et circonscrit, ni associée à une revendication précise. Sans objet distinct, elle est susceptible de s’emparer de tous, au point de définir l’identité du groupe professionnel aux yeux de la hiérarchie et des autres catégories d’agents. Diffuse, généralisée, la plainte se fait entendre comme un leitmotiv audible à l’intérieur du discours général. Refusant de penser que cette plainte est sans cause et sans signification, nous avons fait l’hypothèse qu’elle exprime une dimension douloureuse du rapport subjectif au travail. Nécessairement « adressée », elle dit un manque qui ne trouve à se combler ni dans l’activité, ni dans les interactions. Nous avons prolongé l’hypothèse en posant que ce manque était manque de reconnaissance dans le travail… Toujours page 4 des citations “Tu auras beau soigner au mieux un serpent, à sa première fureur tu recevras ta rétribution.” “L'homme qui, sciemment, froidement, accepte la rétribution de fonctions qu'il n'a pas remplies, est un mendiant de la plus basse espèce.” “Nous sommes après tout, la seule civilisation où des préposés reçoivent rétribution pour écouter chacun faire confidence de son sexe. ” La rétribution n'est donc pas un mot à prendre à la légère. Pourtant on l'utilise très peu. On parle surtout de salaire, d'argent, de reconnaissance, très peu de rétribution.|couper{180}
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Vendre
Je gagne ma vie en tant que peintre, la plupart du temps en vendant du temps contre des conseils, des cours de peinture, et parfois aussi en obtenant un chèque en échange d'une toile que j'ai peinte. Vue de cette façon, la plus simple possible, je suis un commerçant, je vends mon temps, je vends mes tableaux. La valeur de mon temps est fluctuante, cela dépend à qui je le vends. S'il s'agit d'une institution un contrat est établi, une convention. On me donne tant pour le temps passé. Souvent peu, j'estime que c'est peu, parce que dans ce temps donné j'y vois bien plus que les minutes qui s'égrènent en échange d'une somme virtuelle, car on ne voit plus l'argent autrement que par des chiffres au bas d'un bulletin de paie. Je veux surtout y voir plus pour ne pas être honteux vis à vis de moi-même de ne pas avoir su trouver d'autre solutions pour gagner ma vie que celle-ci désormais. J'imagine beaucoup pour combler une sorte de vide qui s'ouvre sous mes pieds lorsque je pense à ce salaire. J'imagine que je suis un artiste aussi, que je me fous de l'argent, que la seule chose qui compte vraiment ce sont ces recherches que j'effectue grâce à la peinture, et aussi l'aide que j'apporte aux gens pour qu'ils obtiennent un peu de plaisir un peu de joie pour parvenir à réaliser leurs travaux. La vie n'est pas très simple, l'argent manque souvent pour payer les factures, je ne suis pas si triste qu'en colère vis à vis de cette situation. Et si je continue à examiner les choses je suis en colère contre moi-même le plus souvent de ne pas parvenir à mettre en place des solutions plus rentables financièrement. Cela fait des mois que je tourne autour du pot pour créer une page afin de vendre des formations en lignes et je dois avouer que je parviens pas à m'y mettre, quelque chose freine et je ne sais pas ce que c'est vraiment. Sans doute que vendre des formations à des inconnus, proposer ce genre de transaction me positionne directement comme commerçant. Je ne vais pas aider le monde à se remettre d'aplomb de cette façon. Le monde m'importe mine de rien. L'argent à gagner est une chose mais l'équilibre du monde passe avant tout. Si j'échange une formation contre de l'argent seulement je déséquilibre le monde comme tout à chacun en toute inconscience, or je ne suis pas cet inconscient. Certains me disent que je me complique beaucoup trop la vie, que je me donne de bonnes excuses pour ne pas faire ceci ou cela... bien sûr, vu de l'extérieur cela ressemble beaucoup à cela, la fameuse procrastination dont tout le monde parle désormais et qui semble être la panacée pour tout expliquer... Ce n'est pas du tout ça. Je peux le dire désormais j'ai fait le tour de la question plusieurs fois avant de pouvoir en parler. Il y a tout un équilibre de forces en présence en nous et au delà de nous que la plupart des gens ignorent totalement. La transaction en générale est une solution qui a été inventée à l'origine pour qu'un échange s'effectue sans que nul ne puisse léser l'autre d'une part, mais aussi pour rétablir un équilibre lorsque celui-ci vacille. Ce sont les plus primitifs des hommes qui ont senti cela, ils savaient que donner quelque chose flanquait la pagaille et qu'il fallait que quelqu'un d'autre rende pour rétablir le calme. Primitifs si l'on veut... Donc donner du temps et recevoir des sommes insignifiantes ça ne redonne pas la paix au monde, il en est même profondément meurtri. Ce qui se produit c'est que l'on va chercher ailleurs que dans l'argent la rétribution. Comment je m'y suis pris pour aller chercher dans l'ailleurs... ce serait une trop longue histoire à raconter, et la plupart des gens désormais n'ont plus guère le temps de lire. Ils survolent. Si tu ne reçois pas suffisamment et que tu gardes pour autant un œil sur l'équilibre du monde tu vas trouver des compensations pour rétablir l'ordre par toi-même. Tu vas porter une attention encore plus accrue à la situation, à ce que tu es en train de faire, à un moment tu vas te détacher de la plainte de ne pas être assez rétribué et tu vas découvrir un monde. Voilà en gros comment moi je m'y suis pris sans donner trop de détail. Voilà aussi comment je continue à m'y prendre aujourd'hui, les transactions que j'effectue je ne les effectue pas uniquement avec les gens, ça va bien au delà, j'ai toujours un œil braqué sur tous les petits déséquilibres en cours et ce sont eux qui m'offrent la contribution à la hauteur de mes espérances de mes prétentions si l'on veut. Vendre un tableau à une, un inconnu ce n'est plus un problème pour moi, vendre mon temps pour de l'argent pas vraiment non plus, car une partie de moi est bien là dans ce monde là et une autre agit en secret dans un monde parallèle, un monde où l'argent le temps la séparation entre les autres et moi n'ont que peu de sens. Un monde où l'unique sens est la quête d'un équilibre perpétuel, constitué de mille et un petits déséquilibres... une sorte de moteur dont l'énergie semble inépuisable à force de l'alimenter de toute mon attention.|couper{180}
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Accumuler quoi comment
Aujourd'hui on va accumuler puisque il s'agit d'un stage de peinture dont le thème est l'accumulation. Mais que va t'on accumuler Comment rendre compte de l'accumulation par la peinture Est-ce une accumulation de signes et dans ce cas y a t'il un seul signe (forme ) ou plusieurs et si ce sont des signes que peuvent-ils signifier ou désigner ... On pourrait prendre une expression que l'on ressasse sans arrêt et par une opération imaginaire la transformer en un signe Quand est-ce que je vais y passer paf on l'écrit sur petit bout de papier et on essaie de produire un signe dont la signification restera secrète au groupe. Comment créer un signe une forme à partir de quoi c'est là toute la question on pourrait prendre la lettre A qui à l'origine est une tête de vache certainement et qui servait ... à compter les troupeaux, à commercer. Et ainsi de suite des différentes lettres de l'alphabet. Il y a toujours une origine pratique à la forme au signe. Ensuite est ce que la taille compte grande question qui traverse les siècles... Essayons d'abord la même taille une accumulation des signes ayant la même taille.... on pourrait avoir l'info en examinant un journal de loin en observant les pavés de caractère avec une graisse plus ou moins forte on pourrait découper des formes dans ces pavés on pourrait découper la même forme mais avec des contenus différents de loin on aurait l'impression d'une répétition du même mais en s'approchant tiens le contenu change D'abord en noir et blanc le matin et l'après midi en couleurs avec du collage L'accumulation c'est aussi la série on pourrait créer de tous petits formats timbre poste et les aligner ou les ordonner dans une forme , aligner toutes ces accumulations ensuite pour créer une grande série accumulation puis tout déchirer et recréer quelque chose d'autre et ainsi de suite épuiser l'accumulation. https://youtu.be/mHeWLtDp50A|couper{180}
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27 ème jour atelier d’écriture
Écrire tous les jours avec une contrainte ou deux que l’on accepte de suivre ou pas d’ailleurs en apprend encore sur la notion d’intensité de l’acte d’écrire. J’écris très vite. Mais au préalable je m’aperçois d’une petite opération mentale inédite… ou dont peut être je ne me rendais pas compte jusqu’à présent. J’arrive à voir le texte, à l’écouter, presque à sentir son atmosphère. Cela se passe sans mot comme une vague d’ondes qui s’entremêlent et qui au moment culminant se retire… c’est à ce moment là qu’il faut se jeter à l’eau… Heureusement que j’ai lu quelques pages de Nathalie Sarraute l’autre jour, comme des exercices supplémentaires entre deux consignes… je l’avais lue autrefois mais c’était pour moi du chinois. « Vous les entendez » j’y ai puisé quelque chose certainement ou bien j’y ai retrouvé une chose qui me filait entre les mots justement. Cet écran des mots dont on ne prend pas la mesure quand on écrit. En attendant ça file, toujours confiance dans cette inconscience qui prend le relais. Quand j’écris je ne pense à rien, je ne suis même pas sur d’être là. Ça s’écrit. Pour autant il va bien falloir être là, se relire. https://www.tierslivre.net/ateliers/40jours-27-demain-le-soleil-la-ville/|couper{180}
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Jachère
Le champs envahit d’herbes folles au milieu des cultures intensives vacance de la terre offerte au soleil au vent à la pluie sagesse du pays d’ici qui sait encore laisser du temps au temps. Et toi quand reposeras- tu les assauts la frénésie du faire et d’obtenir Quand remiseras- tu la herse du tri la fourche des efforts|couper{180}
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Avec l’âge
Avec l’âge ses souvenirs se modifiaient, ils prenaient l’aspect de grands tableaux retournés , un mur immense qui s’étendait vers les deux côtés de l’infini. Avec l’âge l’étonnement augmentait concernant sa force musculaire sur laquelle il s’était tant appuyé, il n’était pas pour autant meurtri qu’elle s’amenuise. Il n’y avait plus que cet étonnement,et c’est sur celui-ci qu’il s’appuyait le plus souvent possible pour continuer. Avec l’âge il lui arrivait de se souvenir de nuits suaves durant lesquelles il avait marché auprès d’une jeune fille. Mais il se souvenait avec beaucoup plus de précision de l’humidité de l’herbe que de quoique ce soit d’autre, comme par exemple le prénom de cette jeune fille. Mais il n’en était pas attristé. Avec l’âge la journée lui paraissait être devenue une version réduite de l’existence toute entière. Aussi s’efforçait-il chaque jour d’agir différemment , oh pas de grandes choses, plutôt de petites presque insignifiantes, de la journée précédente.Chaque jour il modifiait par exemple l’itinéraire pour se rendre à la boulangerie afin d’acheter le pain. Parfois cette légère modification l’entraînait dans des détours surprenants, des rues des ruelles des impasses dont il n’avait jamais eu connaissance et chaque jour ainsi devenait une petite aventure contenant presque la totalité des éléments qui constituent une aventure. Avec l’âge il relisait ses livres, et il lui semblait souvent qu’il ne les avait pas bien lus. Il redécouvrait des chapitres entiers, le caractère des protagonistes s’épaississait, ou bien au contraire se dégonflaient comme des ballons de baudruche et de plus en plus souvent, un simple mode d’emploi devenait la source de méditations fantastiques. Avec l’âge, le temps, la luminosité du ciel, les intempéries et les éclaircies devenaient source d’intérêt, et il apprit progressivement à trouver de l’intérêt même pour la plus petite averse comme pour le plus maigre rayon de soleil. Avec l’âge il regardait toujours les femmes il ne pouvait pas ne pas les regarder, les admirer et il éprouvait toujours le même désir de les étreindre à pleins bras de mordre ou baiser leurs chairs d’imaginer leur chaleur leurs parfums et souvent se superposait à son désir des images de fleurs sauvages dodelinant de la tête sous le vent dans la campagne, dans les champs. Il était heureux d’éprouver encore ce désir, toujours le même toujours aussi puissant, il appréciait le désir désormais pour ce qu’il était tout simplement. Avec l’âge l’idée de la mort le révoltait de plus en plus elle lui semblait absurde totalement désormais, et il en souriait, car cette colère était bien plus authentique que tout ce qu’il avait imaginé jadis lorsqu’il était jeune et tellement orgueilleux quand l’idée le prenait de palabrer sur la vie et sur la mort.|couper{180}
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Hypothèse en valant bien une autre
L’hypothèse est une fabrication mentale, plus ou moins farfelue, elle nous sert néanmoins à expliquer le monde. C’est sur cette hypothèse de l’hypothèse qu’il décida de revenir à l’origine des événements ayant marqué sa vie. Le fait indéniable qu’il soit né prématurément, quelques semaines avant terme pouvait-il raisonnablement être la cause première de sa procrastination perpétuelle, peut-être ce traumatisme-il fallait bien nommer cette anomalie- était-il responsable de cette habitude, ce réflexe de toujours repousser la moindre échéance. Car rien du mental ne pouvait changer cette habitude. On avait eu beau tenter de le raisonner, de vouloir le punir ou le récompenser pour qu’il fasse les choses dans les temps, rien n’avait jamais fonctionné. Lui même avait beaucoup réfléchit à une multitude de raisons possibles comme une paresse congénitale, la peur de la mort, un refus d’accepter le temps comme une donnée commune mais non rien de tout ce à quoi il avait réfléchit ne lui paraissait suffisamment solide pour s’expliquer ses velléités, ses engouements et son obstination à vouloir les détruire en se désaccordant des autres. Décalé n’était peut-être pas tant un défaut une tare que la mise en place systématique d’une stratégie que sa nature profonde ne cessait jamais d’opposer à l’ensemble conjoint des injonctions de l’univers et des hommes.|couper{180}
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Accumulation notes de stage
Depuis quelques années je propose un stage dont le thème est l’accumulation. Un stage de peinture. A l’origine je crois que j’avais été intrigué par le travail d’Arman qui est l’un des premiers à avoir non seulement popularisé cette technique mais qui l’a aussi théorisée. Dans son travail l’accumulation consiste à rassembler des objets identiques en très grande quantité en les fondant dans du plexiglas. Cela peut être réalisé de manière organisée ou désorganisée, volontairement ou involontairement. Arman distinguait plusieurs types d’accumulations. Les accumulations pures constituées d’objets identiques accumulées, entassés, disposés ensemble. Les fragmentations constitues de plusieurs éléments identiques mais découpés selon quelques étapes progressives, qui recherchent le fragment et non l’unité de l’oeuvre. Voire l’objet qui se décompose, se fragmente. Les Coupes fonctionnent comme les fragmentations mais sur un seul et même objet. Les Poubelles sont des accumulations d’une multiplicité d’objets, mais tous différents, de manière désorganisée, chaotique. Les Colères approchent l’idée du happening, provoquées, mises en scène et jouées par Arman en personne, dans lesquels il détruisait un objet, comme un piano ou télévision, en gardant l’accumulation des débris ou fragments, les coulant régulièrement dans du plexiglas. Enfin, les Monuments sont des accumulations d’objets massifs à échelle gigantesque. Disons donc qu’Arman s’est penché sur un phénomène qui existe depuis toujours et qu’il a tenté de lui redonner une définition appropriée et en accord avec son époque, la consommation de biens et services en masse. Pour autant l’accumulation existe bien avant Arman. On peut la retrouver ailleurs dans l’histoire de l’art notamment chez Jérôme Bosch et chez Arcimboldo qui changera notamment la perception habituelle de la nature morte… Unité interne et unité crée par une entité externe Entre Arman, Bosch, Arcimboldo l’unité des œuvres s’effectue de façon interne aux différents éléments narratifs utilisés mais il existe aussi la possibilité de confier cette réalisation à un tiers avec tout l’arbitraire que l’irruption d’un tiers peut produire de singularité. C’est à dire qu’une décision est prise différemment, non par un individu mais plutôt par un sytème. Ce peut être un système mathématique, algorithmique, et qui inclut des objets hétéroclites pour constituer une unité proche de celle qu’on trouve dans les images kaléidoscopiques notamment L’unité provient d’une norme extérieure imposée mathématiquement. On peut citer le travail du britannique D’Amin Hirst qui aura fait scandale dans les années 90 L'utilisation d'environ 9 000 papillons ayant dû vivre et mourir dans deux pièces fermées dans le cadre de l'exposition In and Out of Love a attiré les critiques de la RSPCA[9]. Additionnellement, d’autres œuvres de Damien Hirst ont attisé les critiques. Son œuvre Mother and Child, Divided de 1993, a remporté le Prix Turner. Cette récompense a été jugée inacceptable par une partie du public dénonçant le caractère cynique de l’œuvre présentant une vache et son veau séparés et coupés en deux, dans leur longueur. De plus, beaucoup de personnes ont dénoncé le manque d'éthique, l'utilisation et l'abattage "gratuit" d'animaux. Toutes les œuvres réalisées par Hirst mettant en scène des êtres vivants ont été sources de controverses. Cela a été le cas également pour son œuvre A Thousand Years réalisée en 1990 dans laquelle il met en scène deux cubes de Plexiglas reliés. Dans l'un se trouve une tête de vache avec au-dessus d'elle une lampe électrique et dans l'autre un cube blanc, abritant des milliers d'asticots se transformant en mouches, qui se nourrissent de la tête de vache pour ensuite mourir électrocutés par la lampe. Cette œuvre mettant tous les sens du regardeur au défi a été condamnée par une partie de la critique et Damien Hirst lui-même dit qu'après avoir vu la première mouche mourir, il se rendit compte de la machine infernale qu'il avait créée. Amoncellements, accumulations, médiation A mon avis rien de vraiment nouveau dans le travail de Tim Noble et Sue Webster lorsqu’ils utilisent un amoncellement d’objets hétéroclites pour utiliser la lumière projetée sur celui-ci afin de créer une image figurative…il s’agit d’une utilisation de la pareidolie ( du grec à côté pour para et eidolon, apparence, forme) sorte d'illusion d'optique qui consiste à associer un stimulus visuel informe et ambigu à un élément clair et identifiable, souvent une forme humaine ou animale. On a donc déjà pas mal de pistes pour s’interroger sur la notion d’accumulation dans le cadre d’un stage un peu différents de ceux proposés antérieurement et qui ne consistait que dans une suite d’exercices formels dont le but était de créer de l’insolite, du beau selon la théorie du beau d’Aristote… Dans la Poétique Aristote explique que l’art doit être normé « le beau, que ce soit un être animé ou un fait quelconque, se compose de certains éléments, il faut non seulement que ces éléments soient mis en ordre, mais encore qu’ils ne comportent pas n’importe quelle étendue ; car le beau suppose certaines conditions d’étendue et d’ordonnance » Le nouveau réalisme 1Àl’évocation des Accumulations et des Poubelles d’Arman et, d’une façon plus générale, du Nouveau Réalisme [1][1]Le Nouveau Réalisme (France, 1960-1963) : le critique Pierre…, il vient à l’esprit de celui qui en a connaissance, la représentation plus ou moins sophistiquée d’un mouvement artistique des années 1960, caractéristique pour son regard critique anticipateur sur la société de consommation de masse naissante et préfigurant l’effervescence de Mai 1968 en France. L’approche compréhensive des représentations des acteurs de l’époque à aujourd’hui conforte cette perception. Mais la confrontation de cette représentation aux œuvres elles-mêmes révèle une distorsion entre réalité vécue et donné objectif des œuvres. Ce qui ne manque pas de poser question quant à une sociologie de l’art qui ne se fonderait que sur la seule mise en cohérence des représentations des acteurs. 2À cette thématique de la société de consommation de masse est associée une autre qui procède plus spécifiquement des catégories de perception des spécialistes : l’épuisement formel de la peinture et de la sculpture classique. Or c’est essentiellement à partir de la représentation du producteur, au sens où l’entend Pierre Bourdieu [2][2]Cf. Bourdieu P., Mais qui a créé les créateurs ?, in… (artistes, critiques, journalistes, philosophes, etc.), qu’est bâti ce discours formaliste sur le Nouveau Réalisme. Ce propos combine ce qui a été exprimé immédiatement à l’époque avec ce qui a été construit, reconstruit et peaufiné au fil du temps. 3Cette explication d’ordre esthético-formaliste dont l’épicentre est le ressenti des artistes impliqués, est la première que ces derniers avancent dans les entretiens qu’ils accordent à la critique et à la presse spécialisée. Source : https://www.cairn.info/revue-sociologie-de-l-art-2004-2-page-125.htm Sur le plan pratique plan de stage Matin travail en noir et blanc Recherche d’une forme signe à répéter 1 même taille que se passe t’il ? 2 tailles différentes ( grande moyenne petites) que se passe t’il 3 que dire de la profondeur ? Le fameux 3D … 4 intro à la série … un exercice c’est bien mais si on réunit l’ensemble à partir d’une même forme signe commun ? Quelle vision de cet ensemble obtient-on ? Après midi couleurs collages La même chose que le matin en couleurs Mise en commun découpages collages puis réalisation exercices individuels Mise en commun de l’ensemble …. Que se passe t’il Sources : https://ent2d.ac-bordeaux.fr/disciplines/arts-plastiques/wp-content/uploads/sites/26/2020/07/ACCUMULATION.pdf Voir aussi ce site d’où j’ai extrait beaucoup d’infos sans les modifier vraiment d’ailleurs car parallèlement je récolte pour un autre stage sur le plagiat : https://unphilosophe.com/2014/10/20/prelude-aux-accumulations/|couper{180}
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Atelier d’écriture 26 ème jour
Quand prendre conscience décider de prendre conscience la conscience serait à l’extérieur et soudain … à moins qu’on vive dans une sorte de brouillard synonyme d’inconscience chez les uns d’ignorance chez les autres et que tout à coup pour une raison mystérieuse celui-ci, le brouillard, se lève alors on prend conscience on devient conscient on agit de plus en plus consciemment on ne voudrait plus que le brouillard revienne nous privant de ce paysage que l’on commence tout juste à percevoir. Quand, sur une ligne s’étirant d’un point A où A est origine vers B où B est une fin que l’on ne connaît pas encore, quand, prend-t’on à un moment donné, conscience On pourrait prendre une rue, assez longue de préférence, se donner un point de départ se confondant avec le début de cette rue puisqu’une rue possède, sans qu’on puisse remettre cette observation, cette pensée, cette évidence, en question, ou en douter : on veut croire qu’il y a un début et une fin. Ensuite reste à décider pour soi dans quel sens on veut bien prendre les choses ou pas, dans quelle mesure manipuler l’évidence. Est-ce que cela peut suffire de se procurer un plan de la ville pour observer une rue dans un but précis qui est celui de savoir où elle commence et où elle finit J’ai observé un plan pour regarder où commence et finit la rue où j’habite j’ai été intrigué par le flou qui surgit soudain au point où elle commence ou s’achève … en effet la rue Laurent Nivoley devient la rue Émile Zola tout à coup sans qu’on ne sache pourquoi et plus grave encore, sans qu’il n’existe à priori un point de repère précis. C’est plutôt un espace indéterminé dans lequel on ne sait pas on ne peut pas savoir qu’on est en train de passer d’un nom de rue à un autre. Cela ne change pas grand chose à la rue de ne pas le savoir elle continue son bonhomme de chemin de rue. Comprendre qu’il existe une telle zone de flou d’une rue à l’autre procure une sensation qui appartient d’ordinaire à un ensemble distinct de sensations qu’on qualifierait de peu ordinaires des sensations que l’on rencontre dans les rêves. Cet espace indéterminé d’une rue à l’autre dans un domaine spécifiquement patronymique , sur cette fréquence où chaque chose se doit d’être nommée et si possible nommée correctement , si on ne porte aucun intérêt à cette fréquence on ne peut se rendre vraiment compte .. l’anomalie passera fatalement inaperçue ce qui soulève une question importante concernant la conscience comme l’inconscience Si on veut bien faire attention ou porter une attention à ce sur quoi notre attention est attirée quand on marche simplement dans une rue. Pour une affaire d’apparence aussi simple comprendre aussi un certain laisser aller de la part de la voirie car personne n’agit . N’agissent ils pas car ils sont ignorants de l’anomalie, ou bien ils l’ont bel et bien repérée et ils ne savent comment intervenir. Peut être ont ils des priorités et cette priorité passe t’elle en dernier, à Pâques ou à la Trinité, au terme d’une succession d’autres priorités… y t’il une date inscrite quelque part, une note de service sur laquelle quelqu’un aurait rédigé un rapport d’intervention…on ne le sait pas Et on risque bien de ne jamais le savoir si on ne fait pas partie des services de la voirie.|couper{180}
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Fabienne Swiatly
J’ai raté le zoom du lundi soir, enfin non je n’ai pas pu y assister en raison d’un emploi du temps chargé. Du coup je peux le regarder en replay ce matin un peu et cet après midi … densité des informations et quotidien obligent… Encore la génération née dans les années 60… ce qui renvoie désormais systématiquement à me demander ce que tu as bien pu foutre pendant qu’eux exploraient écrivaient … et en même temps une joie profonde de constater que certains l’ont fait pour d’autres, certaines comme Fabienne. Je ne mets pas de lien je n’impose ni ne propose pas C’est juste une réflexion à voix haute. https://youtu.be/IwOfCgkyEj0 Image en avant Thierry Metz auteur du journal d’un manœuvre|couper{180}
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Qu’est-ce que la subversion
Notes atelier écriture Je regarde la vidéo de François Bon sur sa chaîne YouTube pour proposer aux participants de l’atelier d’écriture une nouvelle piste d’investigation. Il faudra la visionner plusieurs fois au cours de la journée, la noter dans l’app Bear, et poser au fur et à mesure des tags sur chaque piste qui surgit comme d’habitude de ce mille-feuilles , de façon à en extraire probablement qu’une infime partie susceptible de me servir pour réaliser cet exercice, mais tout de suite le mot *subversion* me fait stopper ce flux d’information, je mets en pause et j’ouvre mon éditeur WordPress pour tenter d’écrire ce qui surgit dans mon esprit à cet instant précis… La subversion (latinsubvertere : renverser bouleverser) est un processus d'action sur l'opinion, par lequel les valeurs d'un ordre établi sont contredites ou renversées. C'est une technique d'affaiblissement du pouvoir et de démoralisation des citoyens fondée sur la connaissance des lois et de la psychologie[1] dont l'aboutissement est l'effondrement de l'État sur lui-même. ( définition de Wikipedia arrivant en 3eme position sur la page Google quand j’effectue une requête sur ce mot) Ce qui fait sauter soudain l’image du mot, l’image habituelle que je m’en fabrique grâce à d’autres images de mots, ce qui fait dérailler ce train d’images mentales qui se met en branle quand je pense à la subversion qu’est-ce que c’est ? Et bien c’est l’utilisation de la forme tout simplement bien plutôt que tout l’imaginaire du contenu qu’un créateur sur une voie anachronique, décalée par rapport au réel de son époque. C’est à dire qu’on est encore dans une sorte de sommeil de rêve dans bien des domaines artistiques quand on ne comprend pas ou ne s’intéresse pas aux enjeux d’une modernité, ce qui jette une lueur d’autant plus vive et chaleureuse sur la phrase de Rimbaud : il faut être résolument moderne. Être subversif ce n’est pas dénoncer quelques groupes d’individu voir un état, ce n’est pas s’opposer frontalement en brisant des éléments matériels, fussent ils des codes informatiques pour pénétrer un système afin d’en extraire des données dissimulées, interdites au public. Ce n’est peut-être pas tout à fait cela. On pourrait parler d’une subversion soft si on veut, quelque chose qui agit imperceptiblement sur une forme et qui au bout du compte finit par s’éroder la transformer et à rendre compte du réel, mais un réel en adéquation avec une époque, la notre. Il y a aussi cette image de l’artiste, individu génial et isolé, romantique dont le fantôme perdure encore dans l’opinion public, peut-être pourrait-on penser qu’elle est entretenue pour des raisons assez faciles à trouver si on veut bien s’en donner la peine. Notamment de faire écran à tout un pan d’une réalité artistique contemporaine qui soit est ignorée soit ridiculisée à cet escient. Pourtant cette réalité existe, elle continue de se préoccuper de la forme, elle cherche surtout à vider la création artistique moderne d’un archétype archaïque, le génie romantique, qui désormais propulse l’artiste au même niveau que le chercheur dans les sciences dures. Les questions qui sont soulevées par ces artistes chercheurs correspondent aux problématiques de notre temps. Elles sont subversives non pas pour s’opposer au groupe mais pour proposer de nouveaux cadres de pensées, peut-être sources de réflexion, de nouvelles pistes de recherches et de créations. Le fait par exemple que nous soyons désormais noyés en tant qu’humains dans un univers de données sans bien en saisir toujours l’impact sur nos existences mais aussi sur notre imaginaire sur la façon dont nous racontons a nous mêmes ou aux autres le monde, le réel. Comment est-ce que je peux m’expliquer mon propre décalage en tant que peintre du XXI eme siècle à m’obstiner de vouloir peindre comme un artiste des années 50 ? Il y a encore cette vision plus ou moins obsédante une rémanence du dripping de Pollock, une volonté de se rapprocher de façon pulsionnelle, grégaire d’une famille dont il ne reste plus que des squelettes dans des tombes et quelques traces dans les livres les musées… Je cherche à me procurer un bouquin : L’essai que Jonathan Lethem a publié en 2007 chez Harper, The Ecstasy of Influence : A Plagiarism, est une défense du plagiat, qui fut lui-même plagié. Une longue défense et histoire de la manière dont, en littéra- ture, les idées ont été partagées, rayées, démolies, réutilisées, recyclées, eacées, volées, citées, arrangées, dupliquées, oertes, réappropriées, mimées et piratées depuis que la littérature existe. En cela il nous rap- pelle comment l’économie du don, les cultures de l’open source et le droit des « communs », est devenue un élément vital pour la création de nouvelles œuvres, où les thèmes des œuvres d’hier forment la base des nouvelles. Ampliant les récriminations d’avocats de la culture libre comme Lawrence Lessig ou Cory Doctorow, il raille avec élo- quence les lois actuelles du droit d’auteur comme menace au sang neuf de la création. Depuis les sermons de Martin Luther King Jr aux blues de Muddy Waters, il met en avant les fruits si riches de la culture par- tagée. Il cite même l’exemple de ce qu’il a assumé comme étant ses propres pensées « originales » pour réaliser plus tard – souvent grâce à Google – en quoi il avait inconsciemment absorbé les idées de bien d’autres tout en les proclamant siennes. Un grand essai. Presque dommage qu’il ne l’ait pas « écrit ». L’idée force ? Presque chaque mot, chaque idée empruntés ici ou là, Jonathan Lethem se les est appropriées dans leur intégralité, ou bien les a réé- crites. Son essai est un exemple d’écriture de rapiéçage, une façon de tisser ensemble diverses bribes de mots pris aux autres pour en faire un tout cohérent. C’est une combine que les étudiants utilisent en per- manence lorsqu’ils reformulent avec leurs propres mots une entrée Wikipedia. Et s’ils sont repérés c’est l’enfer : académiquement, ce rapiéçage est considéré comme un délit aussi grave que le plagiat. Si Jonathan Lethem avait proposé son essai comme thèse ou habilitation, on lui aurait montré la porte. D’autres rétorqueraient qu’il n’aurait pu construire une œuvre littéraire aussi brillante – tout comme cet essais si remarqué – en se servant uniquement des mots des autres. C’est la manière qu’il a de conceptualiser et de diriger sa machine d’écriture –choisissant chirurgicalement quoi emprunter, et en arrangeant les mots en expert – qui nous subjugue. Son essai est la parfaite démons- tration autoréexive d’un génie non-original. Kenneth Goldsmith_l’écriture sans l’écriture. Ainsi donc on pourrait imaginer écrire par concaténation de données de récits d’autres, en copiant volontairement un paragraphe une page entière, en élevant le plagiat à la hauteur d’un véritable geste artistique, subversif mais à double sens, d’une part la loi interdit le plagiat c’est une chose acquise mais plus profondément c’est la notion de propriété qui est soulevée… est-ce que cela a encore un sens de parler de propriété artistique, de droit d’auteurs dans une culture ou l’information est accessible et partagée par tous ? N’y aurait il pas encore des enjeux subtilement subversifs qui permettraient tout en contournant les lois avec sobriété et élégance d’éduquer le public, le peuple pourquoi pas sur une réalité dont ils sont presque toujours inconscients. Sacré exercice à réaliser aujourd’hui et la question à méditer c’est comment compresser toutes ces données obtenues ce matin en un texte simple, à partir d’une expérience de la vie quotidienne, comme une rencontre par exemple. Comment toutes ces données comme étant la partie immergée de la réalité peuvent aujourd’hui dans le temps présent impacter cette rencontre… Quelques instants plus tard un texte court ( je m’entraîne à écrire court )|couper{180}